La logique qui préside actuellement à la gestion des droits numériques (DRM) mène tout droit à l’impasse et à des situations loufoques comme celle-ci ou celle-là.
La solution est connue mais boudée par les multinationales. Un format de DRM ouvert (cela ne le rend pas vulnérable pour autant) et multiplateforme. Le client a le droit d’écouter ce qu’il a acheté à prix d’or (Un dollar par morceau c’est nettement abusif) sur l’appareil qu’il veut, avec le lecteur logiciel qu’il veut, sur l’OS de son choix, etc. Actuellement, il faut choisir son camp, Apple, Sony ou Microsoft ou devenir pirate.
Quant à moi, je n’achète pas de musique sous DRM qu’elle soit sur CD ou en numérique.