En tant qu’ancien prof d’histoire, j’ai toujours été préoccupé par la pérennité des informations produites par nos sociétés. La technologie moderne n’est pas adaptée pour la longue conservation des documents. Certes les supports d’autrefois ne passaient pas tous facilement l’épreuve du temps mais un livre conservé dans de bonnes conditions va traverser les siècles, une inscription sur une pierre des millénaires, etc.
Nos médias actuels traverseront le temps physiquement mais l’information qu’ils contiennent ne durera pas très longtemps. Sans prétendre que des formats de fichiers ouverts et libres vont régler le problème, c’est quand même un pas dans la bonne direction.
Ce matin, j’ai eu la surprise de constater que la question préoccupe aussi John Dvorak de PC Mag. Voici deux des billets où il en discute :
Dead media everywhere
Dead media bogeyman