Septuagénaires en vadrouille… Nouvelle Écosse – 2

Un petit déjeuner copieux et très varié nous a remis en selle pour la nouvelle journée. Comme nous n’avions pas vraiment pris le temps de visiter l’attraction principale de Grand Saut, la veille, nous avons décidé de retarder un peu notre départ pour visiter le « grand sault », justement. Pas mal décevant car depuis l’érection du barrage, le débit d’eau est contrôlé et ce n’est qu’au printemps que la chute reprend ses airs d’antan.
Barrage et chute du Grand Sault NBL’allure actuelle de la chute à Grand-Sault. 

Heureusement, le site d’observation est tout près du centre Malobiannah. Sa visite a sauvé la mise. Un centre d’interprétation moderne et pédagogique. On y raconte l’histoire d’une jeune amérindienne qui sauva son village en dirigeant l’ennemi Mohawk dans la chute à sa suite puis, l’histoire de l’aménagement de la chute au fil des ans. Bref, une visite intéressante. On y trouve aussi des oeuvres d’art exceptionnelles comme cette courte-pointe qui aurait nécessité près de 1500 heures de travail.

Une courte-pointe sur l'histoire du Nouveau-Brunswick

Courte-pointe décrivant les 4 saisons du Nouveau-Brunswick

Que dire de ce capteur de rêves bien spécial.

Capteur de rêves

Après cette belle visite, nous avons mis le cap sur notre destination de la journée, Sackville au Sud du Nouveau-Brunswick. Cette petite ville est située à l’entrée de la Nouvelle Écosse.

Suivant les conseils de Google Map et tenant compte de l’heure tardive, nous avons pris la route la plus rapide, le transcanadienne 2. Malheureusement, la route passe toujours en forêt, du moins ce qu’il en reste après les coupes forestières (de petits arbres en train de reconstituer la forêt de jadis). Pourtant, le beau fleuve St-Jean passe tout en bas à gauche de la route mais on ne le voit quasiment jamais. La prochaine fois, prévoir du temps et prendre l’ancienne route qui longe le fleuve.

Arrivé vers 16 h 30 à Sackville, nous avions un peu de temps avant le souper. Nous avons fait une longue marche dans le parc de la Sauvagine. Un étang qui sert de relais à diverses espèces de canards et d’oiseaux. De beaux sentiers aménagés et des passerelles en bois permettent de le parcourir facilement. Une belle initiative des gens de la ville.

Passerelle en bois pour la visite du parc de la Sauvagine.Passerelle dans le parc de la Sauvagine

Canards dans le parc de la SauvagineDeux canards s’en vont baignant

Un bon souper avant le retour à notre chambre. Une chambre confortable et bien meublée.

Michelle et André

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2 réponses à Septuagénaires en vadrouille… Nouvelle Écosse – 2

  1. Marcel dit :

    Bien agréable de te lire et de vous suivre tout et de visiter à travers ton récit. Merci

  2. Lucie dit :

    J’espère que vous serez à l’abris avec l’arrivée de Dorian, dans les bulletins de nouvelles, ce n’est pas très beau . Bonne route.

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